Mardi 24 janvier 2 24 /01 /Jan 17:59

Chapitre 2 – Rencontres et surprises

 

J’étais à nouveau seule… toute chamboulée et toujours vêtue de la tenue que la Duchesse m’avait fait mettre.

J’ai voulu me rhabiller très vite, je me suis penchée pour ramasser mes affaires au sol quand j’ai entendu la porte derrière moi. J’avais encore le cul à l’air et la personne qui est rentrée est tombée nez à nez avec.

 

Je me suis vite redressée. Je suis devenue toute rouge. C’était une jeune fille. Elle n’avait pas l’air plus choquée que ça. Elle était très jolie, une petite rousse, et devait avoir à peine 20 ans. On aurait dit une poupée avec sa jolie peau blanche. Elle avait un regard d’une innocence et d’une pureté impressionnante. Je me demandais ce qu’elle faisait ici. Je me suis vite habillée en m’excusant et avant de la laisser à sa besogne, je l’ai regardé une dernière fois. Elle était habillée en femme de chambre sexy, très sexy ! Uniforme noir et blanc, petit tablier en dentelle, bas blancs. La jupe était tellement courte qu’on voyait un peu de ses jolies cuisses blanches au dessus des bas. Elle avait une beauté irréelle !

 

Il m’est arrivé de penser à elle plus tard…en me masturbant…

 

 

 

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Par Marie - Publié dans : Histoires
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 10:10

La Duchesse et moi

Chapitre 1 : La découverte
Je travaillais pour La Duchesse de Conterville. Une très belle femme de 35 ans, brune, les cheveux longs, ondulés. Les yeux bleus lagons, d’une beauté hallucinante. Elle était toujours très bien habillée, dans les plus belles robes, elle avait une classe folle. C’était une femme très sûre d’elle, elle pouvait parfois être très sévère. Elle n’avait pas de compagnon. Ce qui m’étonnait au début. Puis elle ne s’entourait que de femmes. De jeunes femmes comme moi. Souvent de jeunes filles qui avaient à peine la vingtaine. Sa cuisinière, ses femmes de chambre, sa comptable, sa chauffeuse, sa jardinière et moi. J’étais son assistante personnelle en quelques sortes. Je venais d’arriver quelques jours auparavant. Je remplaçais la précédente qui s’était faite virée pour des raisons que je ne connaissais pas.
J’étais très impressionnée par la Duchesse au début, mais j’ai rapidement réalisé que le boulot n’était pas si difficile. Puis elle était assez indulgente avec moi. Je me suis dit que la précédente avait dû faire quelque chose de très grave pour se faire virer. Je n’allais pas tarder à le savoir et à découvrir la face cachée de cette femme.
Un soir elle m’a invité à diner à sa table, chose qui apparemment n’arrivait que très rarement. Elle s’était habillée dans une magnifique robe du soir en voile noir, très légère. A chacun de ses mouvements gracieux, on avait l’impression qu’elle volait. A table nous avons échangé quelques mots. Après un repas absolument somptueux, et quelques verres d’un vin rouge délicieux, elle a pris un ton sérieux pour me parler.
-          Amélie ma chérie. Je suis très contente de toi et de ton travail. Mais ceci n’est qu’une partie seulement de ce que j’attends de toi.
-          Merci madame, mais que voulez-vous dire ?
-          Je ne pouvais pas t’en parler avant, il fallait qu’une relation de confiance s’établisse entre nous. Voilà, je voudrais d’offrir un plus grand rôle à mes côtés, moyennent bien sûr une hausse conséquente de ton salaire.
-          A oui ?
J’étais tout excitée à l’idée de ce qui semblait être une belle promotion !
-          Vois-tu, je suis une femme pleine d’amour. J’ai beaucoup d’amour à donner, mais aussi à recevoir
A ce moment j’ai cru qu’elle allait me demander de l’aider à lui trouver son prince charmant. L’idée ne me déplaisait pas et c’est surtout la hausse conséquente de salaire qui me motivait pas mal. Je commençais déjà à me demander comment j’allai m’y prendre quand le fil de mes pensées à  été interrompu net, lorsqu’elle m’a annoncé :
-          J’aime les filles. Les jeunes filles comme toi…
Un frisson m’a parcouru le corps. Je commençais à être inquiète !
-           Ce que j’aimerai de toi à partir de maintenant, ce de m’aider à combler cet amour.
-          Mais… mais, comment ?
-          Et bien, de temps en temps je te demanderai de faire certaines choses.
-          Quelles sortes de choses ?
Quelques secondes interminables se sont écoulées avant qu’elle ne reprenne :
-          Par exemple et de me laisser te regarder… nue.
-          Nue ?!
-          Tu es libre de refuser dés maintenant, mais je devrai te laisser partir définitivement.
J’étais toute chamboulée je ne savais pas quoi dire !
-          Mais si tu acceptes, tu devras faire tout ce que je te dis. Et tout ça ne devra pas sortir du château bien entendu.
Elle m’a regardé en me souriant tendrement avant d’ajouter :
-          Ne t’inquiètes surtout pas, il ne s’agit que de plaisir, pour moi, mais aussi pour toi. Tu n’as aucuns soucis à te faire.
Puis elle s’est levée et a rajouté :
-          Maintenant, je vais me retirer pour te laisser y réfléchir. Quand tu auras pris ta décision, soit tu prendras tes affaires et tu quitte le château, soit tu restes… et tu enfiles ce qu’il y a dans ce sac. Je t’attends dans le salon. J’espère que tu prendras la bonne décision ! »
Elle s’apprétait à sortir de la pièce, mais juste avant de refermer la porte derrière elle, elle m’a dit :
-          Ah oui, ton salaire sera multiplié par quatre !
Je suis restée bouche bée au moins dix minutes. J’étais seule dans cette grande salle à manger, il n’y avait plus que le bruit de l’horloge. Je me suis resservit du vin et j’ai allumé une cloppe. Visiblement, ce n’étais pas un refus catégorique, puisque j’étais encore là. Je me suis mise à réfléchir. Le salaire était très très alléchant. Je me disais que je pouvais me mettre nue pour ce prix là. Dans l’absolue je me sentais capable de le faire. Mais tout ça était si précépité. Et puis je me disais que si je refusais, j’allais regretter une situation financière très confortable.
J’ai réfléchit pendant une heure, j’avais bu 3 verres de plus et fumé une dizaine de clopes. J’étais saoûle et cela m’a sûrement aidé à prendre ma décision.
Je me suis levée et j’ai ouvert le sac. J’ai regardé ce qu’il y avait dedans. C’était de la lingerie. Une sorte de nuisette noire à dentelles roses, très transparante pour le haut. Des bas assortis, des chaussures à talon magnifiques et un collier de diamants !
Mais il n’y avait pas culotte ! J’ai pourtant cherché partout dans le sac, je n’ai rien trouvé de plus…


 
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Par Marie - Publié dans : Histoires
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